SECURITE ROUTIERE : QUIPUX AFRIQUE MOBILISE 10 MILLIARDS  POUR LA MISE EN ŒUVRE DU  STI

SECURITE ROUTIERE : QUIPUX AFRIQUE MOBILISE 10 MILLIARDS  POUR LA MISE EN ŒUVRE DU  STI

Le 3 février dernier,  le Gouvernement a concédé à Quipux Afrique SA la conception, le financement, la mise en place, l’exploitation et la maintenance d’un système de gestion  intégré des activités du transport routier en Côte d’Ivoire, d’un Système de Transport Intelligent (STI) et d’une fourrière administrative, à travers le décret n°2021-64 du 03 février 2021. Le décret marque également l’accord officiel pour l’application de la vidéo-verbalisation.

Avant sa  mise en œuvre effective, déjà plusieurs experts des ministères techniques concernés et l’ensemble des parties prenantes s’étaient retrouvés les 15 et 16 avril 2021 en atelier, à Abidjan,  pour adopter les projets de textes censés donner  forme à cette innovation dans la gestion de la sécurité routière et de la mobilité en Côte d’Ivoire.

En attendant donc la finalisation de la revue du cadre institutionnel, Quipux Afrique SA s’active à l’opérationnalisation du projet à travers la mobilisation des ressources financières. Le jeudi 29 avril 2021, son Directeur Général, Ibrahima KONE et le Directeur Général de Bridge Bank Côte d’ivoire, Ehouman KASSI, ont procédé, dans la salle de réunion de la banque, à la signature d’un accord  portant sur la première tranche du  financement du Projet. D’un montant de 3 milliards de F CFA, cet appui qui vient renforcer l’investissement initial de l’entreprise, va permettre l’acquisition de radars supplémentaires pour la phase d’extension du projet, la montée en puissance de la Police Spéciale de la Sécurité Routière (PSSR) et le début des travaux d’aménagement de la fourrière administrative dont la pose de la première pierre est prévue pour fin juin 2021.

Au cœur du dispositif de la vidéo-verbalisation, la PSSR, une unité du Ministère des Transports dédiée à la sécurité routière sera en effet dotée de véhicules qui embarquent des radars et d’équipement pour les  barrages intelligents.

Le décret prévoit également la poursuite et la consolidation de la Base de Données unique du Ministère des Transports à travers l’exploitation du système de gestion  intégrée des activités du transport routier en Côte d’Ivoire. A ce titre, le financement obtenu va permettre à l’operateur d’étendre son réseau avec la construction de 11 nouvelles agences et le réaménagement des 30 existantes avec l’ouverture d’espaces digitaux. En effet,  Quipux Afrique SA à entamé la  dématérialisation de l’ensemble de ses procédures, de manière à être beaucoup plus moderne, plus rapide et d’améliorer la satisfaction des clients de l’administration des transports.

A terme, sur l’année 2021, ce sont 10 milliards de FCFA qu’il faudra mobiliser sur le marché financier local pour la  mise en œuvre de ce projet qui prévoit la  gestion électronique des infractions au Code de la route dans le Grand Abidjan ainsi que dans certaines villes de l’intérieur. Rappelons-le, le système de transport intelligent (STI) va  permettra d’améliorer significativement la sécurité routière ; de doter l’administration d’un système d’information sur les accidents de la route et de maîtriser la mobilité des personnes et des biens.

SECURITE ROUTIERE: LA VIDEO-VERBALISATION EST POUR “TRES” BIENTOT

SECURITE ROUTIERE: LA VIDEO-VERBALISATION EST POUR “TRES” BIENTOT

La vidéo-verbalisation se rapproche de plus en plus des routes ivoiriennes pour donner un signal fort à la lutte contre l’insécurité routière. Le projet plusieurs fois annoncé dans le dernier virage de son opérabilité. Le Directeur de cabinet du ministre des transports, Hamed Diomandé, a confirmé les choses jeudi en citant comme mesures répressive, «la mise en œuvre très prochaine de la vidéo-verbalisation».

«Tout comme le covid-19, l’insécurité routière est un mal que nous devons combattre. Il est temps d’agir vigoureusement…par la répression des chauffeurs indélicats», a-t-il poursuivi.

Diomandé présidait la cérémonie de lancement de la campagne contre les accidents de la route en période de fête de fin d’année coordonnée par l’Office de sécurité routière (OSER), à l’espace de la Paix à Koumassi.

Composant du programme de déploiement du système de transports intelligents ou ITS, la vidéo verbalisation permet à la police de sécurité routière d’adresser des amendes ciblées aux conducteurs de véhicules coupables d’infraction au code de la route. Ces infractions sont détectées par un réseau de caméras qui transmettent les données au centre opérationnel hébergé par le Centre de gestion intégré (CGI. La police, conformément à la basée de données dont elle dispose, transmet au propriétaire, par un canal informatisé, notamment des SMS, l’amende infligée.

Des sources proches du dossier indiquent que les premiers tests du système seront effectués dans les premières semaines de l’année 2021. La police spéciale de la sécurité routière (PSSR) constitue le dispositif opérationnel.

«Nous allons initier un grand déploiement un prendre notre place dans ce combat. La sensibilisation est un outil import mais quiconque faute sera sanctionné», a confié à Acturoutes le commissaire Touré Kader qui commande cette unité de police.

Le ministère des transports marque ainsi son engagement à faire barrage aux automobilistes qui n’ont pas toujours conscience de leur responsabilité de préserver des vies. Les risques de drame sont plus grands dans la période de fin d’années qui se distingue par de grands mouvements de population

En décembre 2019, 596 accidents de la route ont été enregistrés faisant 97 morts, l’année précédents, le bilan était de 742 accidents pour 80 morts dans la même période.

L’OSER, selon le Directeur général, Baffah Koné, est déterminé à cassé ces chiffres et à assurer aux Ivoiriens «des fêtes sans accidents».

Source : acturoutes.info

FORMATION : UN MASTER PROFESSIONNEL « TRANSPORT ET AMÉNAGEMENT URBAIN » INSTITUE

FORMATION : UN MASTER PROFESSIONNEL « TRANSPORT ET AMÉNAGEMENT URBAIN » INSTITUE

Le Directeur Général de Quipux Afrique, expert des systèmes de transports intelligents (STI) à entretenu la première promotion du Mastère professionnel « Transport et aménagement Urbain » sur « les Plateformes de services de mobilité », le mardi 30 juin 2020 au Centre d’éducation à distance de l’ENA. Cette promotion du Mastère professionnel « Transport et aménagement Urbain » composée de 18 auditeurs dont 05 femmes a effectué sa rentrée officielle, ce lundi 27 janvier sur le site sud de l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny (INP-HB).  Ces Cadres et décideurs ivoiriens issus des secteurs public et privé ont été recruté à l’issue d’un processus d’Admission très compétitif et sélectif.

Financé par la Banque Mondiale, dans le cadre du Projet d’Intégration Port-Ville du Grand Abidjan (PACOGA), ce Mastère Professionnel est une formation technique et managériale de haut niveau qui aborde les concepts et préceptes contemporains de la mobilité ainsi que l’usage des outils au service de la planification, de la pratique des projets et de leur opérationnalisation.

Le programme pédagogique se structure en 10 modules d’enseignement en présentiel (1 semaine par mois) suivi d’un Séminaire « Ville à Construire ». Le Mastère est par ailleurs sanctionné par la soutenance d’une thèse professionnelle entre 15 et 18 mois après le démarrage de la formation.

Pour ce début de formation, les auditeurs ont l’honneur de suivre un module sur la Stratégie d’aménagement et management du projet urbain, chapeauté par M. JJ. Brac de la Perrière, Directeur du Mastère Spécialisé Aménagement et Maîtrise d’Ouvrage Urbaine de l’École nationale des ponts et chaussées.

Ce programme de formation ambitieux piloté par Monsieur KONIN Athanas et Monsieur Jean-François SEMPERE (Directeurs académiques) est animé par une équipe pédagogique composée d’enseignants-chercheurs, de professionnels de l’INP-HB et de l’École nationale des ponts et chaussées (Paris, France). Ceci en vue d’assurer un enseignement de haut niveau en prise directe avec les besoins de la profession et du Grand Abidjan.

Source : PRICICI

SÉCURITÉ ROUTIÈRE : DE NOUVEAUX TEXTES EN VUE POUR ASSAINIR LA FORMATION AU PERMIS DE CONDUIRE

SÉCURITÉ ROUTIÈRE : DE NOUVEAUX TEXTES EN VUE POUR ASSAINIR LA FORMATION AU PERMIS DE CONDUIRE

Plusieurs fois interpellé sur la résurgence des accidents de la route, et maintes fois monté au créneau à travers la sensibilisation et la répression des automobilistes indélicats,  le ministère des transports a décidé de passer  à une autre étape: dépoussiérer le textes régissant le processus d’obtention du permis de conduire par l’implication de tous les acteurs qui en font son environnement, principalement les auto-écoles.

C’est l’enjeu d’un atelier consacré à la reforme du permis de conduire et ouvert le jeudi 25 juin 2020 à l’Hôtel Belle Côte, à Cocody sous la houlette de la Direction générale des transports terrestres et de la circulation (DGTTC) qui veut ainsi accompagner significativement le ministère dans la mise en œuvre d’une stratégie efficiente contre les accidents de la route.  

Il s’agit de «réunir les auto-écoles autour d’une plateforme d’échange afin de discuter des problèmes inhérents à l’obtention du permis de conduire aussi bien la formation de base que l’évaluation des candidats au permis de conduire», a expliqué à Acturoutes, le Directeur général des transports terrestres, Romain Kouakou.

Les travaux réunissent des experts de différentes structures sous tutelle du ministère ainsi que des opérateurs techniques intervenant dans la délivrance du permis (Quipux Afrique, SONEC Africa, Biomedical …). Le brainstorming devrait aboutir à un projet d’arrêter sur les conditions d’ouverture et d’exploitation d’une auto-école, un mécanisme de suivi du parcours des apprenants dans les auto-écoles et un système fiable d’évaluation des futurs conducteurs.

Se débarrasser de textes «caduques»
Les réflexions partent d’un ensemble d’insuffisances identifiées à savoir: le manque d’encadrement des candidats au permis de conduire par le ministère de tutelle, le faible niveau de professionnalisme des auto-écoles et surtout l’inadaptation des textes réglementaires régissant la formation des candidats au permis de conduire. En effet, les  textes en la matière datent de 1987 et méritent d’être adaptés à l’évolution du contexte et des pratiques marquées par l’innovation technologique et la révolution numérique.

«On a des arrêtés qui sont caduques. On ne peut pas être dans un pays émergent avec des auto-écoles rétrogrades.  Il nous faut une réforme qui est à la hauteur des ambitions du pays», a souligné Ahmed Diomandé, Directeur de cabinet du ministre des transports, appelant les participants à «une analyse très profonde de la situation».

Achever une réforme entamée en 2014
Ce n’est pas faute d’avoir essayé. En 2014, une réforme a instauré en Côte d’Ivoire les Centres de gestion intégrée (CGI). Des guichets informatisés à travers lesquels la sécurisation de la délivrance du permis de conduire et son caractère infalsifiable ont été renforcés. A cela s’ajoute la réactiviation de la commission nationale de suspension du permis de conduire et l’avènement de la police spéciale de sécurité routière. Selon la DGTTC, un programme unique de formation dans les auto-écoles a été élaboré.

Pour le Directeur général de Quipux Afrique, opérateur technique exploitant les CGI, Ibrahima Koné, cet atelier est la suite logique des innovations technologiques introduites dans la délivrance du permis de conduire.

«Avec l’assainissement des auto-écoles, point d’entrée de l’ensemble du dispositif, la boucle se referme. C’est un processus d’amélioration continue. C’est ensemble que nous allons relever tous ces défis », a-t-il confié à Acturoutes.  

La Côte d’Ivoire, comme bon nombre d’autres pays, subit une saignée de ses ressources humaines due aux drames sur les routes. Ces cinq dernières années, on a enregistré une moyenne annuelle de 10 000 accidents de la circulation entrainant environ 800 morts, selon l’Office de sécurité routière (OSER).  

Les études établissent que le facteur humain est la cause à plus de 90% des cas d’accidents. Il y a donc urgence à mettre la pression sur les automobilistes formés au rabais.

C’est ce pourquoi plaide M. Romain Kouakou qui affirme qu’en «agissant sur les autos- écoles et sur les textes, on peut avoir une filière du permis de conduire plus améliorée».

Source : acturoutes (Le Titre est du sercom)

LUTTE CONTRE LE COVID-19: QUIPUX AFRIQUE  FAIT UN DON D’UNE VALEUR DE 10 MILLIONS  AU MINISTÈRE DES TRANSPORTS

LUTTE CONTRE LE COVID-19: QUIPUX AFRIQUE FAIT UN DON D’UNE VALEUR DE 10 MILLIONS AU MINISTÈRE DES TRANSPORTS

En appui au Ministère des Transports, la Direction Générale de Quipux Afrique, opérateur du Centre de Gestion Intégrée (CGI), a fait don d’un important lot de matériel et d’un cheque  d’une valeur totale de 10 millions de  FCFA.

Composé de  Gels hydro-alcoolique, de  savons liquides, de masques et de kits de  lavage de mains, le don a été convoyé le vendredi 10 avril 2020, au Cabinet du Ministre des Transports sis à l’immeuble Postel 2001 au Plateau, par une équipe de l’entreprise avec à sa tête le Directeur Général Ibrahima KONE.  A travers ce geste, l’opérateur du Centre de Gestion intégrée, fidèle à son engagement citoyen voudrais manifester sa solidarité au monde du transport face à la crise du coronavirus.

Pour le Directeur Général, plus qu’un devoir, ce don est un appui à l’action de sensibilisation entreprise par la tutelle pour contrer la propagation de la pandémie mais exprime également  la solidarité de son comité de Direction à l’ensemble des acteurs du transport.

Le don a été remis  en présence de plusieurs membres du Ministère des Transports dont le chef de Cabinet. Celui-ci a,  au nom du Ministre, félicité le Directeur Général et  salué l’important don. Il a ensuite salué et réaffirmer l’engament du Ministre Amadou KONE en faveur de la bonne santé des ivoiriens et particulièrement des transporteurs depuis l’apparition du Covid-19. Avant d’encourager les initiatives similaires en faveurs des plus vulnérables pour venir a bout de la pandémie.

COVID-19 : LE DIRECTEUR GÉNÉRAL SENSIBILISE DANS LES CENTRES DE GESTION INTÉGRÉE.

COVID-19 : LE DIRECTEUR GÉNÉRAL SENSIBILISE DANS LES CENTRES DE GESTION INTÉGRÉE.

Le Directeur Général de Quipux Afrique a effectué une visite  dans les Centres de Gestion Intégrée du Ministère des Transports en vue de s’enquérir de visu du respect des mesures sanitaires et sécuritaires prises par le gouvernement pour lutter contre la propagation de la pandémie du Coronavirus. C’était le Vendredi 10 avril 2020.  A cette occasion, Ibrahima KONE a sensibilisé les agents et échangés avec les usagers des centres sur l’importance du respect strict des consignes barrières édictées.

Dès l’annonce du premier cas de malade atteint du coronavirus en Côte d’ivoire, l’operateur avait anticipé par la prise de dispositions afin de protéger les agents,  sensibiliser et stopper la chaine de propagation de la maladie. Depuis, prise de température, lavage des mains et application systématique de gel hydro-alcoolique sont obligatoire avant d’accéder aux  différents centres. Conformément à la distanciation sociale, les usagers sont reçus par vagues.

Pour rappel, afin de mieux gérer le flux d’usagers, l’accès aux centres d’Abidjan se fait exclusivement sur prise de rendez-vous en ligne ou par appel conformément aux consignes sanitaires.

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